Infinite Dreamer
/!\ version BETA /!\
Le endless runner mobile, retro et pénible !
Infinite Dreamer fait partie de cette catégorie de jeux populaire mais à la philosophie simplissime : tu cours, tu sautes pour récupérer des trucs, et ceci le plus longtemps possible. Pas de claquage de cerveau, pas besoin de trois post-docs en jeux vidéo pour saisir le concept.
Bon, pour être précis, dans Inf’ Dream’, tu ne cours pas vraiment, mais tu flottes dans l’espace. Propulsé par un ARC-EN-CIEL. Ouais, tu voles gracieusement dans le cosmos infini, telle une licorne galactique.
Un gameplay novateur qui envoie du pâté par boîtes de douze.
Causons bien, causons jouabilité.
Sauter partout comme une sauterelle sous acide, c’est cool. Mais, tant qu’à faire, autant pouvoir sauter en haut ET en bas, parce-que la Physique, c’est surfait. Il suffit pour cela de toucher l’écran sur la moitié haute ou bien sur la moitié basse. Pouf, deux fois plus de possibilités.
Tenez vous bien, car tant qu’on est dans le largage de fonctionnalités : pour chaque direction, il existe DEUX types de saut, un petit et un gros. Soit, pas un, pas deux, pas trois, mais QUATRE sauts différents ! 😮 Mais comment faire ? Eh bien, c’est très simple, cher futur joueur accro. Un simple touch active le petit saut, un touch un peu plus long active le grand saut.
Cerise sur le gâteau à la chantilly, tu peux réaliser un « contrejump » afin de revenir rapidement sur la terre ferme (enfin, le milieu de l’écran ferme). Lorsque tu es en l’air, touche l’écran du côté opposé. Cela permettra d’éviter bien des obstacles.
Des graphismes époustouflants, à côté desquels la Joconde pourrait servir de tapis de souris.
Les rageux diront qu’on ne s’est pas trop foulés pour les graphismes. Les connoisseurs reconnaîtront les références subtiles aux vieux jeux des années 80, des formes géométriques des personnages jusqu’aux Highscores épiques, en passant par les bruitages 8-bits et l’effet de flou particulièrement sale.
Le machin rouge, c’est ton vaisseau spatial.
Les étoiles jaunes, les « pièces » à récolter.
Les losanges verts, des boosts à prendre pour aller plus vite.
Et les ronds-barrés violets, les méchants, faut faire attention.
Bref, c’est du Retro, sur ton mobile surpuissant à plusieurs centaines d’Euros… donc, par définition, beaucoup mieux que dans le passé. Avec un peu de Google Play Games / Game Center sous le capot pour gérer le multijoueur, les achèvements à accomplir et les multiples classements.
Faire du vieux avec du neuf – enfin, l’inverse. Ceci est une révolution, personne n’y avait jamais pensé.
Etude de la variabilité du concept.
Quoi ? Vraiment ?
Hey, oui ! Le jeu « classique » se décline en plusieurs mods, afin de perdre encore plus de temps.
– Classic Game : le jeu normal, celui que tout le monde sur la planète connait.
– Random Mission : un objectif t’es donné en début de jeu, à toi de le réaliser dans le temps imparti.
– Back To The Future : le mod où tu remontes dans le temps avec un nouvel élément de jeu (le sablier). Celui-ci te permet de revenir 5 secondes plus tôt dans la partie, et donc de potentiellement choper plus d’étoiles.
– 2 Players (non fonctionnel pour le moment) : jouer avec un ami sur la même partie, un saut chacun à votre tour. Particulièrement rageant et donc indispensable.
– Slalom of Hell : le but est de récupérer le plus d’étoiles possible en 30 secondes, sur un parcours très pénible.
– Safe Space : le mod sans obstacles où tout le monde se sent en sécurité, et où l’objectif est de récupérer 20 étoiles le plus vite possible.
– Plus à venir.
Pour ceux qui ont eu la flemme de lire.
– C’est sur mobile.
– C’est gratuit.
– C’est un endless runner où tu voles et tu sautes pour récupérer des bonus (les étoiles, les boosts) ou éviter des obstacles (les météorites).
– C’est retro.
– Il y a plein de mods pour varier les plaisirs.
– Beaucoup de fun.
– Philosophie « Easy to play, Hard to master » (facile à jouer, dur à maîtriser).
– Achète la version sans pub à l’intérieur du jeu et la chance te sourira dans la vie, 100% garanti par une étude scientifique.